Nouvelles lectures, nouvelles chroniques. Je vous propose des nouveautés livresques dédiées au développement personnel, domaine que j’affectionne tout particulièrement.
3 livres incontournables de développement personnel
50 méditations pour mieux d’aimer de Fabrice MIDAL
Philosophe et écrivain, Fabrice MIDAL est l’un des penseurs les plus originaux et percutants de notre temps. Il a publié de nombreux livres à succès traduits dans le monde entier.
Tu as peur de te rencontrer. Sais-tu que tous tes problèmes viennent de là ?
Tu ne peux pas prendre soin des autres si tu ne prends pas d’abord soin de toi.
Tu ne peux pas aimer les autres si tu ne t’aimes pas d’abord toi.
Pourquoi te maltraites-tu ?
Pourquoi as-tu tant de mal à entrer en amitié avec toi ?
Apprends à t’aimer et la vie t’aimera.
Offre-toi ce cadeau. Chemine avec ces 50 méditations qui sont 50 clés pratiques pour guérir tes blessures.
Mon avis : un livre qui aide à gagner en sérénité. J’aime beaucoup ce petit livre de développement personnel et je vous le recommande !
Un homme debout de Franck Lopvet
Franck Lopvet présent ici une voie profonde et décapante de libération.
On nous explique qu’il faudrait trouver des manières de mieux contrôler notre vie, de devenir plus conscient et de relativiser. Et si c’était là l’erreur qui nous cause tant de difficultés et de souffrances ? Notre vie ne nous est pas extérieure. Nous avons à la vivre !
Franck Lopvet dans ce dialogue inspiré, vous montrera l’importance de reconnaître vos propres ressentis si vous voulez dénouer les nœuds qui vous enserrent.
C’est ainsi que pourra naître « l’homme debout », l’individu capable d’accepter d’être enfin le créateur de son expérience.
Mon avis : Un merveilleux mode d’emploi pour accepter les autres tels qu’ils sont et être acteur de sa vie. J’aime beaucoup sa façon très simple d’expliquer les choses, avec son ton bienveillant et plein d’humour.
Editions Pocket
Vers une vie simple de Edward Carpenter
Publié en 1887, ce livre est un réquisitoire contre l’idéal qui prédomine alors en Angleterre : s’enrichir en fournissant le moins d’efforts possible. Toute une population rêve en effet de parvenir à l’état de consommateur passif qui vit aux crochets des autres. À l’économie politique bourgeoise qui détruit la fraternité, Carpenter oppose un tout autre idéal : que chacun se dépouille du superflu et se retrousse les manches pour répondre à ses besoins, tout en partageant et en s’entraidant avec ses prochains.
S’appuyant à la manière d’un Henry David Thoreau sur sa propre expérience de retour à la terre, sur sa sensibilité à la nature et sur les principes de la simplicité volontaire qu’il expose ici, l’écrivain-maraîcher plaide pour un socialisme anti-industriel. Soit une production à petite échelle fondée sur le travail des paysans et des artisans, qui maîtrisent leurs moyens de subsistance.
Non seulement une telle société décentralisée serait plus juste et égalitaire, mais elle permettrait aussi une plus grande liberté et un épanouissement des individus. Car l’Homme n’est pas fait pour s’enfermer dans des villes fumantes, mais pour vivre au grand air et travailler avec ses mains. Voici l’une des leçons de ce magnifique traité de philosophie pratique.
Mon avis : Un livre synonyme d’alerte devant l’urgence d’une société plus vertueuse : un livre à lire en priorité !
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