Hello, j‘espère que la rentrée s’est bien passée pour vous et pour vos enfants ? Aujourd’hui, un petit article de développement personnel.
J’avais envie de vous parler de la paresse puisque c’est un mot qui est tendance actuellement.
Définition de la paresse
Comportement de quelqu’un qui répugne à l’effort, au travail, à l’activité, goût pour l’oisiveté.
Alors suis-je paresseuse ? Je pense que je suis vraiment l’anti-these de ce mot. Je suis une fille plutôt hyper active.
Pourtant, cet article que j’ai lu dans le magazine Marie Claire, cet éloge à la paresse m’a fait me questionner. Pourquoi suis-je son inverse, devrais-je ralentir le rythme ?
Eloge de la paresse ou de la flemme ?
Je pense que c’est propre à chacun car chaque situation de vie personnelle est différente. Pour autant, je pense que le mouvement de quiet quiting (le fait de ne pas démissionner mais de ne plus vraiment s’impliquer dans son travail et également le signe de ralliement de salariés qui s’opposent à la culture du travail et encouragent à la “démission discrète”) sont révélateurs du besoin de bien être de la génération des milleniums.
Cette revendication ne ferait en réalité qu’exprimer la nécessité que soient instaurées de “saines frontières” entre vie professionnelle et vie privé. Pourquoi il y a tant de burn out ? Cela n’est pas seulement dû aux confinements liés à la crise sanitaire mais aussi à des managers, une activité professionnelle qui ne laissent pas les salariés/agents progresser dans leurs tâches, s’épanouir ou diversifier leur parcours.
En effet, on se sent obligé de fournir des efforts, de planifier sa vie, de reprendre un rythme insensé. Et si une autre voie était possible ? Et si nous étions en mesure d’adopter un autre rapport au temps.
Il est plutôt question d’écouter ce que notre flemme a à nous murmurer. Alors personnellement, j’ai choisi de ralentir pour réfléchir aux façons d’améliorer ma vie.
2 commentaires
Coucou Emilie,
Je ne suis pas paresseuse, mais j’ai mes moments de flemme… ce qui arrive rarement et heureusement…
Des bisous
Coucou,
Je fais parti de ces gens qui remettent leur travail au lendemain, même si j’essaie d’y travailler.
C’est sympa d’en parler.
Bisous